40 ans d'histoire du rock, du punk, du blues et du polar à travers des rencontres et des anecdotes vécues par Michel Embareck, le journaliste spécialisé du magazine « Best » devenu depuis l'auteur de nombreux romans, notamment à la Série noire et aux éditions de L'Archipel. Cette réédition (« Rock en Vrac » était paru en 2011 à L'écailler), augmentée et actualisée, comporte de nombreuses photos inédites en couleur ainsi que six nouvelles supplémentaires qui s'inscrivent dans la lignée de ses ouvrages remarqués autour de deux figures emblématiques « Jim Morrison et le diable boiteux » (L'Archipel 2016, prix coup de foudre des Vendanges Littéraires 2017), et « Bob Dylan et le rôdeur de minuit » (L'Archipel 2018).

« Le plus grand des hasards me fit entrer dans l’intimité d'ACIDC: Sting se souvient peut-être, qu'au bar d'un lugubre hôtel je l'ai initié au charme de la téquila sunrise. Elton John nierait certainement avoir fait le pitre à ma demande. Oui, je vous parle d'un temps où Neil Young, coudes sur la nappe à carreaux d'un boui-boui proche de la gare de l'Est, ne voyait pas d’inconvénient à répondre à une interview inopinée.Je vous parle d'un temps où l'on refusait de publier des photos volées d'un Bob Dylan très amoureux dune violoniste au bord de la piscine d'hôtel parisien. »

LES ÉDITIONS RELATIVES : editionsrelatives.fr
Photo de couverture : Michel Embareck

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FIP
MICHEL EMBARECK- 2025



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LES CADORS ON LES RETROUVES AUX BELLES PLACES ****


DIX ANS DURANT, de 1974 à 1984, Michel Embareck a signé nombre d'articles et de reportages restés dans les mémoires, notamment dans les pages de feu le magazine Best. Devenu par la suite chroniqueur judiciaire, auteur de polars ou commentateur sportif, le journaliste, qui a aussi officié à Libération et Rolling Stone, est surtout connu pour son verbe haut et la tonalité volontiers gouailleuse de ses articles. Qu'il a décidé de rassembler dans ce Rock en vrac épatant, drôle et pertinent, rappelant ainsi que fut une époque ou les critiques de rock pouvaient encore se retrouver embarqués dans des odyssées rock'n'rolliènes dantesques. Et, de Kingston à La Nouvelle-Orléans, en passant par tous les patelins nettement moins rock ou punk - Mont-de-Marsan notamment, avec TheClash -, Embareck et son verbe réjouissant embarquent ses lecteurs loin, vers des horizons souvent perdus mais ô combien présents. Aussi, énoncer les artistes/auteurs/musiciens rassemblés dans cette nouvelle édition revue et largement augmentée serait plus longue que la recension de cet ouvrage, bien évidemment indispensable.


Belkacem Bahlouli
ROLLING STONE

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Pour certain(e)s, la vie a pu être résumée en trois mots: sexe, drogues et rock'n'roll. Pour d'autres, toujours trois mots mais différents : polar, rugby et rock'n'roll-ce qui est le cas de Michel Embareck, longtemps "best" journaliste pour commenter, justement, le pop-rock, le rugby et le fait divers. On le retrouve avec Rock en vrac, édité originellement en 2011, présenté ces temps-ci en une édition augmentée avec de nouveaux textes et photos. Il offre ici ses "rencontres avec des caïds du rock et du roman noir". En mots, il conte quarante ans de rock, punk, blues et polar... Lui qui écrivit Jim Morrison et le diable boiteux et Bob Dylan et le rôdeur de minuit, il évoque ce qu'il appelle le "rock artisanal". Au fil des pages défilent les belles années du magazine Best, le rockeur Michel Pagliaro ou Malcolm McLaren, tenu pour l'inventeur du punk, sans oublier Kingston, la Jamaïque, le reggae, les carnets de voyage de Bernard Lavilliers ou encore une étape à La Nouvelle Orléans, et même en bord de piscine, nuitamment, un certain Monsieur Zimmerman - oui, Bob Dylan. All that's rock!


Le Quotidien du Luxembourg

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La tête en noir.

Rock en vrac, de Michel Embareck. Les Editions Relatives.

Avant d'être l'excellent auteur de romans noirs qu'on apprécie depuis 40 ans (Série Noire, Archi- pel, etc.), Michel Embareck a été journaliste au sein de la prestigieuse rédaction du mensuel Best de 1974 à 1984. Dix ans de folie au cœur de la planète rock (mais aussi du roman noir) qui lui ont permis de faire d'incroyables rencontres qu'il nous relate dans ce passionnant recueil de souvenirs. C'est que le journaliste a côtoyé une ribambelle de stars du rock, du punk, du blues et du polar, qu'elles soient Françaises (Gainsbourg, Lavilliers, Little Bob, Bijou, Dogs) ou surtout internationales (AC/DC, Bo Diddley, James Lee Burke, James Crumley). Ses reportages en Jamaïque sur les traces du reggae ou ses comptes rendus de festivals punk valent le détour, tout comme ses chroniques publiées dans Rolling Stones. Bref un livre indispensable aux amateurs de rock seventies!


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Nouvelle chronique LE POURPRE au sujet de Rock en vrac :

Ne dites pas Embareck, dites Embarock. D’abord une préface. Pour mettre les chrockse au point. Il y a rock et rock. Le rock d’avant et le rock d’aujourd’hui. Celui d’aujourd’hui, il s’est dinosaurisé. Surtout en notre pays. L’est devenu un plantigrade balourd dont tout le monde se détourne. S’est transformé en une espèce en voie d’extinction. Survit dans les zoos, les enfants ont le droit de leur jeter des cacahuètes. De braves bêtes inoffensives, châtrées dès la naissance. Elevées aux hormones qui annihilent leur métabolisme de prédateurs. Parfois surgissent par miracle, par génération spontanée, quelques méchants tyrannosaurus aux dents longues à vous croquer la planète. Sont circonscrits en d’étroites réserves, seuls de rares amateurs tentent de les remettre en liberté, mais les institutions médiatiques veillent…
Méfiez-vous de l’expression rock en vrac. L’est sûr que vous avez l’impression que Michel Embareck vous embarrasse avec ces trois cents pages remplies jusqu’à la gueule qu’il décharge au tractrock-pelle sans préavis dans votre cervelle trop étroite pour accueillir tant d’informations. Je vous rassure, elles sont dûment classées par ordre chronologique. Surtout au début. Je vous laisse sur votre faim pour la fin.
Vite submergé. Ne le plaignez pas. Il l’a voulu.



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Il est temps de rallumer la littérature (Antoine)

Sans vouloir me vanter, j'ai toute la collec".

• Rares sont devenues les librairies qui vous permettent de repartir avec une dédicace et un album de Motörhead. C'est le cas de Parallèles, sise à Paris dans le quartier des Halles, où Michel Embareck dédicaçait le 20 février la réédition augmentée de son indispensable Rock en Vrac, Ceux qui savent auront lu ici même la recension de ce recueil de chroniques parues dans le défunt magazine Best (1974-1983, méfiez-vous des imitations) et dans Rolling Stone, auquel l'auteur eut le bon goût d'ajouter des entretiens avec << des caïds >> du roman noir américain, tels James Crumley et James Lee Burke, ainsi que des nouvelles portant sur le rock n'roll, Parue aux Editions Relatives, la réédition dont il est question comporte des photos inédites issues de la collection personnelle dudit Michel - dont l'incroyable cliché de Joe Strummer en couverture - ainsi que six nouvelles supplémentaires. Copinage? Peut-être. Ce qui n'empêche pas le bouquin d'être admirablement écrit et foutrement informatif. Cette réédition est la première bonne nouvelle d'une année qui risque d'être chiche en la matière. Foncez, c'est précieux.

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