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©2007 Michel EMBARECK.
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AVIS D'OBSEQUES
2013

On ne court jamais aussi vite qu'une balle.

Un matin d'automne, dans une ville de province, le corps de Fabrice Kerbrian du Rescouet, alias « Fabulous Fab », est retrouvé en bordure d'un jardin public. L'autopsie révèle qu'il a été abattu à bout portant d'une balle derrière la tête. Fait étonnant, l'arme utilisée par l'assassin est un pistolet japonais datant des années 1940.
Pour quelles raisons cet héritier d'un empire de presse régionale -- au bord de la faillite -- a-t-il été tué ? Et par qui ? Un mari jaloux -- l'homme était coureur --, des investisseurs mécontents ? Ou un fantôme du passé au courant de quelques lourds secrets de la famille Kerbrian du Rescouet ? Sous la pression d'un procureur carriériste, les policiers de la PJ explorent de multiples pistes.
En même temps, Victor Boudreaux, l'ancien lanceur de marteau devenu détective privé, enquête sur un trafic d'œuvres d'art volées dans les églises. Ce faisant, il dérange le microcosme local, qui n'aime pas les vagues. D'autant que se profilent les élections municipales...








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"C'est à Lire" - Bernard Poirette - RTL


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PRIX LITERAIRE :
Prix de la Ville - Mauves-sur-Loire - Novembre 2013 - TELECHARGER LA PLAQUETTE
Avis d’Obsèques de Michel Embareck
Saproville-sur-Mer est une petite cité balnéaire sans histoire, jusqu’au jour où un notable du cru, Fabrice Kerbrian du Roscoät, héritier du puissant empire familial de presse régionale est retrouvé mort d’une balle dans la tête. Le privé, Victor Boudreaux, lui-même en plein coeur d’une sombre histoire de trafics d’objets d’art et tout juste remis d’un AVC, se plonge alors dans les tréfonds de la vie provinciale au grand dam des élites locales…
Michel Embareck est né dans le Jura. Journaliste dans un quotidien régional et en charge des faits divers et de la justice, il a une bonne connaissance des rouages de la police et de la justice qu’il met à profit dans ses romans. La mort fait mal et Le rosaire de la douleur, tous deux publiés en Série Noire, mettent déjà en scène Victor Boudreaux.
« La gouaille d’un style qui ne livre pas les éléments clé en main, et l’univers de Boudreaux le privé
attaché à la Nouvelle-Orléans (...), font l’attrait de ce polar savoureux. Avis d’obsèques est sans conteste reconnaissable entre dix pour un blind test au milieu d’autres polars français.»
Fondu au noir, sur leur blog (10 septembre 2013)



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« Une description quasi chabrolienne de la province, une aversion pour la morale donnent naissance à un roman noir profondément jubilatoire. Tout ce qu’on aime. » Rolling Stone.

« Décapant, la verve en avant. » Presse Océan

« Humour politiquement incorrect, personnages d’une bassesse sans nom. Un aplomb et un cynisme fantastiques. Un des très bons moments de lecture de cette rentrée littéraire. » Black Novel

« Reconnaissable entre dix pour un blind test au milieu d’autres polars français. » Fondu au noir

« Un suspense impeccable. » Action Suspense

« Un travail d’écriture plus original que la masse de romans noirs et thrillers à serial killers et flics déprimés. » Encore du Noir

« La presse durant le Seconde guerre mondiale et à la Libération n’est pas épargnée. » Paul Maugendre – Les lectures de l’oncle Paul

« Un excellent roman policier dans lequel l’auteur raconte avec talent les vies quotidiennes d’hommes et de femmes s’agitant dans une parcelle de temps qui ne peut et ne pourra jamais se détacher du passé. » BSCNews

« Une gouaille plus fleurie que le Père Lachaise à la Toussaint. » Patrick Foulhoux – Polar Blog

« Un passionnant et édifiant roman traversé d’humour. » La tête en noir

«  Dans Avis d’obsèques, avec allant et une pointe de cynisme Michel Embareck fréquente des contrées littéraires où l’on croise souvent Dashiell Hammett. Quel plaisir » Serge Bressan – Le quotidien du Luxembourg.

« Son passé de de fait-diversier et de chroniqueur judiciaire lui a permis de vivre en direct ce sur quoi il écrit. Avec des anecdotes en pagaille. Un vrai plus pour les amateurs de réalisme ». Benoit Fabiszak – La Voix du Nord.


« Où l'on retrouve Victor Boudreaux, ex-fan de Stax dont le nom fleure bon les marais de Louisiane et les bas-fonds de la Nouvelle Orléans, où il aime à retourner régulièrement. Cette fois, c'est l'assassinat de l'héritier d'un empire de presse régionale au bord de la faillite à Saproville- sur-Mer qui lui fait reprendre du service, même diminué par un AVC. Chez Michel Embareck, la description quasi chabrolienne de la province et de ses notables, les trouvailles stylistiques et une notable aversion pour la morale donnent naissance à un roman noir profondément jubilatoire sur fond de corruption et d'argent sale : Extrait :
-" Un instant, Houareau se sent dans la peau du général Dourakine commandant une armée de mongoliens , abandonné par le grand patron en train de promettre à des jean-foutre de politique une prochaine baisse substantielle de la délinquance ."
Tout ce qu'on aime. »
Thomas Grumaud - Rolling Stone


« Enquête dans la fange
Avec Avis d'obsèques, Michel Embareck
signe un polar empli d'allant et de cynisme.
Un polar alerte, enlevé. Tout plein de suspense. C'est Avis d'obsèques, le nouveau roman de Michel Embareck qui, dans une autre vie, fut journaliste pour un mensuel rock ou encore un quotidien. Passé à l'écriture au long cours, il s'est imposé en littérature grâce à une écriture inventive et imagée. Donc, direction Saproville-sur-Mer – un nom prédestiné quand on découvre que le mot grec sapros signifie pourriture, corruption.
Dans cette ville, un beau jour, on découvre le corps sans vie de Fabrice Kerbrian du Roscoät, propriétaire du journal France-Océan, qui a succédé, à la tête de l'entreprise, à ses père et grand-père, et a bousculé la tradition en misant également sur le numérique, la télé et d'autres innovations qui ont entraîné le départ de collaborateurs «historiques» dont le reporter Franck Schirmeck. Luc, le nouveau directeur de la rédaction, est missionné par la famille du défunt
pour qu'il n'y ait pas de vagues…
Les flics mènent l'enquête. Le commissaire Yann Le Trividic et ses hommes ciblent Carvalho, le DRH du journal au passé pas très clair. Il y a aussi José Barteau, dont on retrouve le cadavre – comptable dans une entreprise nautique, il aurait eu quelques problèmes avec Kerbrian du Roscoät. Et aussi le directeur de la rédaction de France-Ouest qui ferait un bon suspect, peut-être le parfait coupable…
On voit aussi se pointer Victor Boudreaux – c'est la troisième fois qu'on le retrouve dans un texte d'Embareck – détective privé aux méthodes expéditives. Dans Avis d'obsèques, avec allant, une bonne dose d'humour et une pointe de cynisme, Michel Embareck fréquente des contrées littéraires où l'on croise souvent Dashiell Hammett. Quel plaisir! »
S. B. - Le Quotidien



"Il en connaît un rayon, Embareck, sur les petites magouilles provinciales. Ancien journaliste spécialisé dans les faits-divers pour un grand quotidien régional, il a rendu compte d'un sacré paquet de VMA (vols à main armée), IPM (ivresse publique manifeste) et autre pouet-pouet camion (agression sexuelle). Alors Saproville-sur-Mer, où Fabrice Kerbrian du Roscoät, le directeur de France Océan, est retrouvé raide mort, est le miroir de tous ces chefs-lieux de canton dont les édiles n'aiment pas trop qu'on vienne mettre le nez dans leur bonne soupe. Le procureur qui part à la chasse aux canards avec une flopée de notables, des flics plus spécialistes en biérologie qu'en recherche d'indices et Victor Boudreaux, le privé dénué de scrupules, qui finit par mettre un bon coup de pied dans la fourmilière. Pour se retrouver sur la route de ceux qui ont fait avaler son bulletin de naissance au patron de presse coureur de jupons avec un vieux pistolet japonais. Petite jubilation bien égoïste, l'auteur en profite pour assassiner les cadors de Power Point et les frappés du tout-numérique.L'avenir de la presse, comme chacun sait."
G.T. (libération – 7 novembre 2013)